Novembre

La valeur voilée de l'écoblanchiment

Le syndrome de la bouteille vide

En 2009, PepsiCo a fièrement présenté sa bouteille "EcoGreen", saluée par beaucoup comme l'incarnation du produit biodégradable. Annoncée comme un miracle de durabilité, le public friand d’avenir vert en fit rapidement l’éloge.Cependant, derrière ce nom prometteur, l'emballage s'est avéré bien moins écologique. La réalité ? Un temps de dégradation de plus de 1 000 ans - dansdes conditions idéales, bien sûr.

Cette bouteille est un exemple frappant d'écoblanchiment : des produits masqués avec des promesses vertes, mais en pratique moins durables qu'ils ne le prétendent. De telles tromperies nous amènent à réfléchir à d'autres hypothèses que nous tenons pour acquises, comme le débat entre le papier et le numérique.Mais quelle vérité se cache réellement derrière ces perceptions ?

Digitale paradox

Papier, vaak in een negatief daglicht gesteld als milieubelastend, heeft in werkelijkheid een gunstigere omgevingsimpact dan men zou verwachten, zeker als we het afzetten tegen het volledige ecosysteem nodig voor online communicatie, zoals energieverslindende datacenters en winning van schaarse grondstoffen voor de productie van computeronderdelen (chips).

Zo worden elk jaar wereldwijd meer dan 300 miljard e-mails verzonden. Deze ogenschijnlijk simpele handelingen resulteren in een CO2-uitstoot die te vergelijken is met die van alle hybride personenwagens op onze Belgische wegen. Wanneer je daarbij in overweging neemt dat het recyclen van één ton papier 17 bomen spaart en 1,7 ton CO2-uitstoot voorkomt, verdient de gedachte dat digitaal inherent milieuvriendelijker is dan drukwerk dan ook wat extra nuance.

Zo worden elk jaar wereldwijd meer dan 300 miljard e-mails verzonden. Deze ogenschijnlijk simpele handelingen resulteren in een CO2-uitstoot die te vergelijken is met die van alle hybride personenwagens op onze Belgische wegen. Wanneer je daarbij in overweging neemt dat het recyclen van één ton papier 17 bomen spaart en 1,7 ton CO2-uitstoot voorkomt, verdient de gedachte dat digitaal inherent milieuvriendelijker is dan drukwerk dan ook wat extra nuance.

Un paradoxe numérique

Le papier, souvent présenté sous un jour négatif comme nuisible à l'environnement, a en réalité un impact environnemental plus favorable qu'on ne pourrait le croire, surtout si on le compare à l'ensemble de l'écosystème nécessaire à la communication en ligne, comme les centres de données consommateurs d'énergie et l'extraction de matières premières rares pour la production de composants informatiques (puces).

Plus de 300 milliards de courriels, par exemple, sont envoyés chaque année dans le monde. Ces opérations apparemment simples entraînent des émissions de CO2comparables à celles de toutes les voitures hybrides circulant sur nos routes belges. Quand on sait que le recyclage d'une tonne de papier permet de sauver17 arbres et d'éviter l'émission de 1,7 tonne de CO2, l'idée que le numérique est intrinsèquement plus écologique que l'imprimé mérite d'être nuancée.

Plus de 300 milliards de courriels, par exemple, sont envoyés chaque année dans le monde. Ces opérations apparemment simples entraînent des émissions de CO2comparables à celles de toutes les voitures hybrides circulant sur nos routes belges. Quand on sait que le recyclage d'une tonne de papier permet de sauver17 arbres et d'éviter l'émission de 1,7 tonne de CO2, l'idée que le numérique est intrinsèquement plus écologique que l'imprimé mérite d'être nuancée.

Les hypothèses en perspective

Toute industrie, y compris l'industrie de l'imprimerie, laisse indubitablement une empreinte sur l'environnement.

Nous ne prétendons pas avoir la réponse ultime à des questions complexes, telles que celle de savoir si les documents physiques sont réellement plus respectueux de l'environnement que les options numériques, car d'innombrables facteurs influencent l'impact total sur notre biosphère. Ce que nous soulignons, c'est que les opinions populaires et les perceptions généralement acceptées ne correspondent pas toujours aux faits réels.

Les hypothèses en perspective

Toute industrie, y compris l'industrie de l'imprimerie, laisse indubitablement une empreinte sur l'environnement.

Nous ne prétendons pas avoir la réponse ultime à des questions complexes, telles que celle de savoir si les documents physiques sont réellement plus respectueux de l'environnement que les options numériques, car d'innombrables facteurs influencent l'impact total sur notre biosphère. Ce que nous soulignons, c'est que les opinions populaires et les perceptions généralement acceptées ne correspondent pas toujours aux faits réels.

Forts de cette prise de conscience, nous vous invitons à dépasser ensemble les définitions courantes de la durabilité. Bien que nous soyons fiers de notre héritage dans le monde de l'imprimerie, nous sommes conscients que la"durabilité" ne se limite pas aux préoccupations écologiques. ChezINNI GROUP, par exemple, nous chérissons le bien-être de nos employés et valorisons l'esprit d'entreprise local.